Découvrez si Treize à la Douzaine sur Disney Plus est basé sur des faits réels !

Treize à la Douzaine est disponible sur Disney Plus ! Si vous souhaitez savoir si le film est inspiré d’une histoire vraie, lisez la suite ! « Cheaper by the Dozen », le roman écrit en 1948 par les frères Frank Bunker Gilbreth Jr. et Ernestine Gilbreth Carey a été adapté à l’écran plusieurs fois, avec un manque croissant de fidélité.

La dernière version, réalisée par Gail Lerner sur un scénario de Jenifer Rice-Genzuk Henry et du créateur Kenya Barris, ne ressemble pratiquement pas au matériau d’origine. Au lieu d’un duo d’ingénieurs industriels vivant dans le New Jersey avec une douzaine d’enfants biologiques, ce « Cheaper » raconte l’histoire des Baker, Paul et Zoe qui possèdent un restaurant populaire à Los Angeles.

Ils partagent leur maison avec leur fils adoptif, un neveu adolescent, deux paires de jumeaux et une série d’enfants issus de mariages précédents. La seule chose que le film a en commun avec le livre est qu’il s’agit d’une grande famille. Mais alors Treize à la Douzaine est il inspiré d’une histoire vraie ? On vous dit tout !

Treize à la Douzaine est il basé sur une histoire vraie ?

Treize à la Douzaine est partiellement basé sur une histoire vraie. Après plusieurs adaptations cinématographiques, spin-offs et reboots, les projets ultérieurs sont devenus assez éloignés de la réalité. L’histoire est vaguement basée sur la superfamille Gilbreth, notamment sur les parents de Frank et Ernestine, Frank Bunker Gilbreth et Lillian Moller Gilbreth.

Le couple du New Jersey, célèbre pour ses travaux pionniers sur l’étude du mouvement, faisait apparemment de sa maison un laboratoire vivant. Frank et Lillian Gilbreth ont en effet eu douze enfants qui ont survécu à l’enfance. Cependant, au moment de la rédaction du livre, seuls onze d’entre eux étaient en vie, Mary étant morte de diphtérie à l’âge de cinq ans.

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Au moment de la mort de Mary, sept de ses frères et sœurs n’étaient pas encore nés. Il n’y a donc jamais eu douze enfants simultanément dans le foyer. Ils ont emprunté le titre à l’une des blagues préférées de Frank Gilbreth Sr. Si quelqu’un sur la route lui demandait comment il avait fait pour avoir autant d’enfants, il répondait avec assurance : « Eh bien, ils sont moins chers par douzaine, vous savez », et il repartait.

Bien que les auteurs aient pris une certaine liberté créative dans l’agencement des histoires, celles-ci sont pour la plupart tirées de leur mémoire. Le livre se termine brusquement en 1924, avec la disparition tragique de Frank Sr. Par conséquent, si l’on considère tous les aspects, le film de 1950 est le seul qui suit l’histoire de près. Dans le cas des versions ultérieures, Treize à la Douzaine n’est pas inspiré d’une histoire vraie.