Découvrez si Mémoires d’une Geisha est basé sur des faits réels !
Mémoires d’une Geisha est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez savoir le film est inspiré d’une histoire vraie, lisez la suite ! Au début des années 1990, Arthur Golden a entrepris d’écrire un roman sur un sujet qu’il ne connaissait pas ou n’avait pas étudié auparavant. En essayant de faire des recherches, il est tombé sur une personne qui pouvait lui présenter la plus célèbre geisha du 20e siècle : Mineko Iwasaki. Pour connaitre l’explication de la fin, lisez ceci.
M. Golden s’est entretenu avec elle en lui assurant que son livre serait une représentation fidèle de la profession de geisha, et dès sa sortie en 1997, il est devenu un best-seller international. Si vous avez souhaitez savoir si Mémoires d’une Geisha est inspiré d’une histoire vraie, lisez la suite !
Mémoires d’une Geisha est il inspiré d’une histoire vraie ?
Non, Mémoires d’une Geisha n’est pas basé sur une histoire vraie. Cependant, le personnage principal de Chiyo Sakamoto, connue sous le nom de Sayuri Nitta, semble être en partie dérivé d’une ancienne geisha de la vie réelle, Mineko Iwasaki.
Après tout, cette femme d’affaires, écrivain et ancienne hôtesse japonaise a parlé à Arthur Golden alors qu’il rédigeait le livre du même nom en 1997 et l’a ensuite poursuivi en justice pour rupture de contrat et diffamation. Mineko a allégué des parallèles évidents entre sa vie et le livre, ce qu’elle n’a pas accepté au préalable, et a obtenu un accord à l’amiable en 2003.
Selon son dossier, elle n’a accepté de lui parler qu’après avoir reçu l’assurance que son identité resterait confidentielle, mais Arthur l’a nommée dans les remerciements du roman. Ce dernier, cependant, a nié tout accord de ce type. Un autre problème est l’accent mis sur les relations physiques entre les geishas et tous leurs clients.
Dans le livre comme dans le film Mémoires d’une Geisha, les hôtesses sont dépeintes comme des travailleuses du sexe. Pourtant, Mineko et d’autres geishas ont révélé que, bien qu’elles soient habiles en musique, en danse et en conversation pour servir leurs clients masculins et qu’elles développent souvent des relations à long terme avec eux, ces relations peuvent ou non déboucher sur des rapports sexuels.
Malgré ces détails essentiels, Arthur a fait remarquer que Mémoires d’une Geisha n’est pas l’histoire de Mineko qui a été romancée, mais un récit fantastique qu’il a créé à partir des informations recueillies lors de ses conversations avec les différentes geishas.
