Découvrez si Je suis toutes les filles sur Netflix est basé sur des faits réels !
Je suis toutes les filles est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez connaitre si le film est basé sur une histoire vraie, lisez la suite ! Dans Je suis toutes les filles, actuellement en streaming sur Netflix, les femmes poursuivent la justice selon leurs propres termes. Se déroulant à plusieurs époques en Afrique du Sud, tant à l’époque de l’apartheid qu’aujourd’hui met en lumière les horreurs de la traite des êtres humains et les ravages qu’elle laisse dans son sillage.
En 1994, la jeune fille Ntombizonke Bapai est enlevée avec plusieurs autres filles et emmenée dans l’enceinte du ministre du Parti national, FJ Nolte, où nombre d’entre elles sont vendues dans le cadre de la traite des êtres humains. Lorsqu’elle est « usée », elle et les autres filles de ce réseau sont envoyées dans une maison close bas de gamme, où leur vie dans ce monde sombre se poursuit.
Des années plus tard, Ntombizonke travaille dans la police aux côtés de Jodie Snyman. Après l’échec d’une nouvelle descente de police, Jodie est écartée de ce type d’affaires et se voit confier une affaire de meurtre. Elle découvre bientôt que ce meurtre est lié aux crimes de trafic sexuel sur lesquels elle enquête depuis le début.
Alors que Jodie approfondit cette affaire, d’autres corps continuent à apparaître dans la ville, et elle se rend compte qu’ils portent les initiales d’un groupe de filles qui ont été kidnappées dans les années 90. Même si elle est sur le point d’exposer la vérité et d’arrêter les coupables, son travail est inévitablement interrompu par la bureaucratie et la corruption. Lorsqu’il devient évident que le meurtrier de ces malfaiteurs est probablement lié à la police, les choses se compliquent encore davantage.
Malgré les menaces de son supérieur de la mettre en congé et tous les autres rebondissements, Jodie refuse d’abandonner. Découvrez à quel point Je Suis toutes les filles est basé sur une histoire vraie ! Avant de continuer, si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin en détails, lisez ceci.
Je Suis Toutes les Filles est il basé sur une Histoire Vraie ?
Oui, Je Suis toutes les filles est basé sur une histoire vraie. Bien que le film ne mentionne pas exactement l’incident sur lequel il est basé, il semble que le crime central du film soit basé sur le cas réel de Gert van Rooyen. Rooyen était un pédophile et tueur en série sud-africain qui aurait enlevé 6 jeunes filles entre 1988 et 1989. Lui et son complice Joey Haarhoff sont soupçonnés d’avoir enlevé et assassiné de nombreuses autres filles âgées de 9 à 16 ans.
Leur dernière victime, Joan Booysen, a réussi à s’échapper et a alerté la police. Peu après avoir découvert qu’elle s’était échappée, Rooyen a tué son partenaire et s’est suicidé. Aucun reste des jeunes filles mortes et disparues n’a été retrouvé depuis. Et il existe un manque d’informations sur les victimes qui auraient pu survivre à cette épreuve. Sans surprise, dans les années qui ont suivi sa mort, il y a eu des allégations selon lesquelles Rooyen était impliqué dans un groupe pédophile.
Son fils, Flippie van Rooyen, a affirmé que trois anciens ministres du Parti national étaient impliqués dans un réseau de trafic d’enfants qui travaillait avec son père. Au sujet des filles disparues, il a déclaré que certaines d’entre elles avaient été emmenées au Moyen-Orient. Nous voyons ces aspects représentés dans le film, avec un ancien ministre et un ministre en exercice impliqués dans le trafic d’enfants. Le ministre en exercice est également vu en train de vendre des jeunes filles à des Arabes dans le point culminant du film.
Il semble presque trop évident que Gert van Rooyen est représenté par le personnage de Gert de Jager. Plus tard, il a également été reconnu coupable de parjure, mais les allégations continuent d’être reprises par des fonctionnaires de police. De plus, Jager est tué dans le film un jour après avoir mentionné le ministre, très probablement sur l’ordre de ce dernier. En réalité, Rooyen s’est suicidé.
De nombreux rapports font également état d’humains introduits clandestinement dans des conteneurs, comme on le voit également dans le film. Cependant, l’histoire de Ntombi, la justicière qui tue les trafiquants d’enfants, et de son partenaire policier renégat est, comme prévu, fictive. Ils sont utilisés pour transposer à l’écran les réalités horribles qui inspirent le film sous forme de thriller.
Les scénaristes du film, Wayne Fitzjohn, Marcell Greeff, Emile Leuvennink et Jarrod de Jong, ont probablement décidé qu’utiliser deux protagonistes qui suivent des approches très différentes pour atteindre un objectif commun était le meilleur moyen de dépeindre les multiples aspects du problème.
