Découvrez si I Care A Lot sur Netflix est inspiré d’une histoire vraie !
I Care A Lot est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez savoir si le film est inspiré d’une histoire vraie, lisez la suite ! Réalisé par J Blakeson, I Care a Lot est une comédie noire fascinante. Elle tourne autour de Marla Grayson, une femme impitoyable et sans scrupules, qui a mis en place une entreprise rentable et légale de tutelle judiciaire. Avec l’aide de médecins comme le Dr Karen Amos, Grayson et ses associés trouvent des victimes de leur escroquerie très élaborée parmi l’une des catégories vulnérables de la société : les personnes âgées. Grayson convainc ensuite le tribunal que les victimes visées ne sont pas capables de prendre soin d’elles-mêmes. Pour découvrir l’explication de la fin en détails, lisez ceci.
Après que le tribunal l’ait nommée conservatrice de ces hommes et femmes âgés. Elle vend leur maison, met leurs biens aux enchères et nettoie leurs économies. Bien que le film prenne une tournure quelque peu absurde après que Grayson commence à s’opposer à l’ancien truand Roman Lunyov, sa première moitié troublante contient suffisamment d’éléments réalistes pour nous faire nous demander si I Care A Lot est inspiré d’une histoire vraie. Voici ce que nous avons pu découvrir.
I Care A Lot sur Netflix est il inspiré d’une histoire vraie ?
I Care A Lot n’est pas basé sur une histoire vraie, et Marla Grayson n’est pas une personne réelle. Tous les personnages et les intrigues de I Care A Lot sont fictifs. La seule partie de I Care A Lot qui est en quelque sorte basée sur une histoire vraie est la prémisse de l’arnaque de tutelle de Marla’a.
Le scénariste/réalisateur J Blakeson s’est inspiré en partie d’histoires réelles sur des tuteurs louches comme Marla Grayson. Dans une interview pour les notes de presse du film, J. Blakeson a déclaré que tout a commencé lorsqu’il a vu des reportages sur de vrais gardiens prédateurs qui jouent avec le système et exploitent leurs pupilles. Il a été horrifié. Imaginez qu’un jour vous ouvriez votre porte et qu’une personne se tenait là, tenant un morceau de papier qui lui donnait un pouvoir légal total sur vous. Cette idée me terrifiait et me semblait très pertinente en ce moment.
Elle se rattachait à des thèmes qu’il avait envie d’explorer des thèmes sur le pouvoir de l’autorité, sur les gens par rapport au profit, sur le contrôle par rapport à la liberté, sur l’humanité par rapport à la bureaucratie. Il a continué en disant qu’il lisais beaucoup de nouvelles et a été horrifié par les choses terribles que faisaient tant d’entre eux surtout que la plupart de leurs actions se trouvaient dans une faille juridique.