Découvrez si la Saison 1 de Hard Cell est inspiré d’une histoire vraie !

Hard Cell est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez savoir si Hard Cell est inspiré d’une histoire vraie, lisez la suite ! Le fil qui tisse la narration de Hard Cell, est l’empathie. Cette affirmation est en grande partie vraie, jusqu’à ce qu’une intrigue surgisse de nulle part et change la tonalité de façon si radicale qu’au lieu de devenir un suspense et un frisson, elle ressemble à une débâcle. Pour savoir si une saison 2 verra le jour, lisez ceci.

Catherine Tate, qui a réalisé la série avec James Kayler, incarne six personnages dans ce mockumentary. Le premier dans la panoplie des personnages est celui de la gouvernante de la prison pour femmes HMP Woldsley, Laura Willis. Laura accepte très volontiers que ce n’était pas son plan A de devenir la gouvernante d’une prison pour femmes. Pour savoir si c’est une vraie prison et où elle a été filmée, lisez ceci.

Mais maintenant qu’elle est là, elle a l’intention d’apporter des changements progressifs pour faciliter la réinsertion des détenues. La philosophie de Laura ressemble à un détournement du directeur de Wernham Hogg, David Brent, qui se prenait pour un porte-drapeau du changement positif. Mais alors Hard Cell est il inspiré d’une histoire vraie ?

Hard Cell est il inspiré d’une histoire vraie ?

Non, Hard Cell n’est pas basé sur une histoire vraie. Elle est plutôt basée sur les observations de la créatrice Catherine Tate concernant le système carcéral défectueux en Grande-Bretagne et les organisations caritatives qui organisent des concours de talents et des productions théâtrales dans les prisons.

Catherine a divulgué que l’actrice Cheryl Fergison, qui joue son propre rôle dans la série, visite les prisons dans la vraie vie pour aider les ex-détenus et organiser des comédies musicales similaires à celle dépeinte à l’écran.

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Le spectacle explore de manière réaliste les dures conditions de vie en prison et la nature problématique du système judiciaire. Il reflète une réalité choquante, puisque les rapports de Prison Policy Initiative indiquent que, par rapport aux 10% de toutes les personnes incarcérées avec une condamnation, un quart des femmes incarcérées sont détenues dans des prisons aux États-Unis.

Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car il existe une grave discrimination raciale en ce qui concerne les détenus, ainsi qu’un manque de programmes de réhabilitation à leur sortie. La majorité des femmes sont issues de milieux traumatisants et ont très probablement été victimes de la pauvreté.

En outre, il existe de nombreux cas de violence et d’abus sexuels dans les prisons, souvent aux mains des fonctionnaires eux-mêmes. Ainsi, nous pouvons réaffirmer que, bien que Hard Cell n’est pas basé sur une histoire vraie, la série dépeint de manière crédible des circonstances réelles.