Découvrez la critique et l’explication détaillée de la fin de Hanna sur Netflix !
Hanna est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez tout savoir concernant la fin, lisez la suite ! Une adolescente sort dans le monde pour la première fois et doit se battre pour sa vie. Le réalisateur Joe Wright tisse des éléments de contes de fées sombres dans le thriller d’aventure Hanna, filmé en Europe et au Maroc.
Hanna a 16 ans. Elle est brillante, curieuse et c’est une fille dévouée. Elle a la force, l’endurance et l’intelligence d’un soldat, qu’elle doit à son père Erik, un ancien de la CIA, qui l’a élevée dans les régions sauvages du nord de la Finlande. Erik a appris à Hanna à chasser, lui a fait faire des exercices d’autodéfense extrêmes et l’a scolarisée à la maison avec seulement une encyclopédie et un livre de contes de fées.
Hanna a vécu une vie différente de celle de tous les autres adolescents. Son éducation et son entraînement n’ont été qu’une seule et même chose, visant à faire d’elle le parfait assassin. Mais dans le monde, il y a des affaires inachevées pour la famille d’Hanna, et c’est avec un mélange de fierté et d’appréhension qu’Erik réalise que sa fille ne peut plus être retenue. Si vous avez des questions concernant le film Hanna, on vous dit tout !
Explication du film Hanna !
Marissa, la patronne de la CIA, est essentiellement une méchante marâtre. La raison pour laquelle elle déteste et craint Hanna et Erik est suggérée de plusieurs façons, mais elle se résume à ceci. Le père et la fille représentent une menace pour la sécurité américaine si importante que des millions de dollars sont volontiers dépensés pour les capturer et les neutraliser.
Seth Lochhead et David Farr, font quelque chose d’autre qui est efficace. Ils introduisent un élément de réalité. Trop de films d’action existent toujours au même niveau de fantaisie violente. Ici, il s’arrange pour qu’Hanna tombe sur une famille britannique ordinaire en vacances. Il y a une fille nommée Sophie, qui doit être la première fille de son âge qu’Hanna rencontre. En effet, c’est sa première rencontre avec une famille, et tout cela est étrange et inconnu. Le contact avec la réalité met en lumière la singularité de sa vie.
Cate Blanchett semble étrange. Elle laisse peu d’humanité dans sa Marissa ; elle est aussi avenante que Ilsa, la louve de la S.S. C’est peut-être sage. Une Marissa plus humaine introduirait des tonalités qui pourraient ne pas convenir. Son travail consiste à commander ses sous-fifres et à se concentrer sur la capture du père et de la fille. Une chambre dans laquelle Hanna est retenue pendant un certain temps nous rappelle de façon amusante la convention de James Bond selon laquelle un captif extraordinaire exige une cellule extraordinaire, apparemment construite à grands frais pour l’occasion.
Hanna est un bon film, solide. Il repose sur un ordre et une discipline stylistiques, une histoire claire et des séquences d’action ingénieuses. Il n’y a pas que des coups et des flashs. Saoirse Ronan endosse un rôle difficile et l’interprète avec autant d’assurance que dans « Atonement », où elle jouait un personnage bien différent. Voir un film comme celui-ci, c’est mieux comprendre la confusion aveugle d’un film comme « Battle : Los Angeles ».