Découvrez à partir de quel âge voir Mad Max Furiosa au cinéma !
Mad Max Furiosa sort le 22 mai 2024 au cinéma ! Si vous souhaitez savoir à partir de quel âge voir Mad Max Furiosa, lisez la suite ! Furiosa : A Mad Max Saga examinera les origines du personnage central du film de 2015, Imperator Furiosa (interprétée par Charlize Theron dans le film de 2015), et répondra aux questions liées à son passé. Pour savoir quand il sortira sur Netflix, c’est ici.
Elle apparaît pour la première fois dans Fury Road lors d’un discours d’Immortan Joe, où il est révélé qu’elle s’occupe de la logistique de la citadelle de Joe et qu’elle est spécifiquement chargée de transporter le pétrole de Gas Town à la citadelle. Elle est le capitaine de guerre d’Immortan Joe, mais se rebelle contre lui pour sauver les Cinq épouses. Pour regarder tous les films dans l’ordre chronologique, lisez ceci.
Le personnage de Furiosa a été salué par les critiques du monde entier comme une héroïne d’action féminine forte qui introduit des idées féministes dans la franchise. Mais alors à partir de quel âge voir Furiosa au cinéma ?
A partir de quel âge voir Furiosa au cinéma ?
Furiosa est classé Tous Publics en France au cinéma cependant, il est déconseillé aux moins de 13 ans un peu partout dans le monde. C’est d’ailleurs ce que l’on conseille également. En effet, cela reste un film apocalyptique de guerre avec beaucoup de scène de violence et pouvant choquer les plus jeunes.
Le mieux est de faire regarder Fury Road à vos enfants avant, afin de s’assurer qu’ils aiment la franchise et qu’ils ne seront pas choqué ! Évitez les enfants en bas âge. Pour savoir si il y a une scène post-générique, c’est ici.
Que peut on attendre du film ?
Le synopsis officiel de Mad Max Furiosa nous dit ceci : « Dans un monde en déclin, la jeune Furiosa est arrachée à la Terre Verte et capturée par une horde de motards dirigée par le redoutable Dementus. Alors qu’elle tente de survivre à la Désolation, à Immortan Joe et de retrouver le chemin de chez elle, Furiosa n’a qu’une seule obsession : la vengeance. »
