Découvrez l’explication de la fin de l’Exorciste du Vatican ! Spoilers !
L’Exorciste du Vatican est basé sur la vie et les écrits du père Gabriele Amorth, interprété par Russell Crowe dans le film. Le père Amorth était un prêtre catholique italien qui a été l’exorciste désigné par le pape pour le Vatican dans les années 1980. Il a documenté les milliers d’exorcismes qu’il a pratiqués dans une série de livres, dont An Exorcist Tells His Story (Un exorciste raconte son histoire) et An Exorcist : More Stories, dont le film s’inspire directement.
Le film suit Amorth alors qu’il tente d’aider une famille américaine traumatisée vivant en Espagne, dont le jeune fils, Henry (Peter DeSouza-Feighoney), est possédé par un démon malveillant. Il se passe beaucoup de choses tout au long du film, des démons qui sautent des corps à un tas de théories religieuses. Si vous avez été pris dans le chaos du final et que vous avez besoin d’éclaircissements ! Voici tout ce qui s’est passé à la fin de L’Exorciste du Vatican.
Explication de la fin de L’Exorciste du Vatican
A la fin de L’Exorciste du Vatican, Gabriele, Esquibel, la mère et la sœur d’Henry se réunissent dans sa chambre pour procéder à l’exorcisme. Tout le monde prie et contraint le démon avec la puissance du Christ. C’est en fait la scène de L’Exorciste (1973). Mais cela ne marche pas. Le démon possède Henry et sa sœur et les tue. Gabriele, désespéré de sauver les enfants, demande au démon de le posséder à sa place. Et le démon le fait !
Henri et sa famille ne sont plus possédés et s’échappent de l’abbaye. Esquibel reste en arrière pour aider Gabriele, désormais possédé. Ils tombent dans les catacombes, où les choses deviennent vraiment démoniaques. Gabriele est torturé par l’image de Rosario, tandis qu’Esquibel est torturé par l’image de son propre ex-amant.
A la fin de L’Exorciste du Vatican, heureusement, Esquibel a sa croix et ses prières en latin, qu’il a apprises à la demande de Gabriele. Tout le monde sait que les prières sont plus puissantes en latin ! Esquibel parvient à expulser le démon et, ensemble, Gabriele et lui parviennent à le vaincre. C’est le travail d’équipe qui fait fonctionner le rêve.
A la fin de L’Exorciste du Vatican, une fois le démon vaincu, le pape se rétablit complètement. Le pape félicite Gabriele pour son excellent travail. La nouvelle est encore meilleure : Le non-croyant Sullivan est parti faire du travail missionnaire à Guam ! Il est remplacé par l’évêque Lumumba, favorable à l’exorcisme. Gabriele peut désormais pratiquer ses exorcismes en toute liberté.
Lumumba emmène Gabriele et Esquibel dans les archives de l’Église, où il leur révèle que le démon Asmodée est l’un des 200 démons présents dans les « sites maléfiques » du monde entier. Gabriele serait-il prêt à vérifier les 199 sites restants et à les débarrasser du mal ? A la fin de L’Exorciste du Vatican, ils ont même une carte utile des sites, qui a été découverte avec les documents de l’abbaye. Gabriele répond par l’affirmative, à condition d’être accompagné de son fidèle acolyte, le père Esquibel. Pour savoir si une suite est prévue, lisez ceci.
Le film se termine par un extrait de Gabriele s’éloignant au ralenti, avec un texte sur la projection informant le spectateur que le véritable Père Gabriele Amorth « a continué à servir les affligés jusqu’à sa mort à Rome en 2016 et a écrit de nombreux livres. Les livres sont bons ». Il s’agit d’une référence insolente à une réplique plus tôt dans le film, lorsque Gabriele rencontre Esquibel pour la première fois.