Découvrez l’explication de la fin de Death Wish ! Spoilers !
Death Wish est passé à la télévision sur TF1 ! Si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin de Death Wish, lisez la suite ! Death Wish est un fantasme sur un homme chauve de 62 ans qui peut relever son sweat à capuche et devenir soudainement cool. Le jour, Paul Kersey est un chirurgien traumatologue respecté.
La nuit, le veuf éploré est un justicier surnommé la Faucheuse. Dans un diptyque spectaculaire, nous voyons les deux armes de son métier : scalpels en haut, balles en bas, une contradiction qui ne signifie finalement rien pour le scénario. Death Wish, lui aussi, est simplement axé sur le pouvoir des outils. Pour savoir si Death Wish 2 verra le jour, lisez ceci.
Le sweat-shirt à fermeture éclair permet à Paul de se pavaner dans les clubs les plus branchés de Chicago sans que personne ne lui offre un Metamucil. Et son arme lui donne confiance. Le réalisateur Eli Roth nous épargne une bombe qui fait une grimace à Paul. Au lieu de cela, lorsqu’une jeune femme aperçoit Paul en train d’exécuter un voleur de voiture, elle estime que le tueur a entre 25 et 30 ans. Si vous avez des questions, voici l’explication de la fin de Death Wish !
Explication de la fin de Death Wish
A fin de Death Wish, la fusillade est terminée, les méchants sont emballés dans la glace, et le détective Raines se promène en cherchant des réponses. Raines allait certainement comprendre que Kersey était la Faucheuse, mais la question était toujours de savoir s’il allait être un flic consciencieux et mettre Kersey aux fers, ou s’il allait laisser entendre qu’il savait, faire un clin d’œil, et regarder ailleurs.
A fin de Death Wish, nous avons eu une réponse définitive à cette question, mais elle est venue d’une manière si vague que certains téléspectateurs ont pu la manquer. Lorsque Raines interroge Kersey sur ses armes légales, il demande si Kersey a déjà eu un Glock. Kersey répond qu’il en avait un, mais qu’il s’en est débarrassé.
En d’autres termes, Raines sait tout. Si vous vous souvenez, l’arme que Doc K a récupérée du corps du voyou mort était un Glock. C’est le même pistolet qu’il utilise tout au long du film pour abattre tous ces imbéciles de criminels. Après cette conversation, Kersey et Raines savent tous deux que l’autre sait aussi, et ils sont tous deux d’accord avec ça. Car c’est la morale de l’histoire de Death Wish : la justice d’autodéfense est une bonne chose.
Même après son entretien avec le détective Raines sur le fait de ranger son Glock pour toujours, Kersey a toujours un peu de justicier en lui. Juste une petite miette, collée à l’endroit spécial dans son cœur. A fin de Death Wish, Kersey regarde un voleur s’enfuir avec les bagages de quelqu’un. Kersey l’appelle, puis pointe son doigt vers le type, et « Bang ! », il fait tomber le marteau de son arme de poing. Et il le fait avec un sourire.
Il laisse le voleur s’enfuir cette fois, mais regardons les choses en face : Il rentre chez lui dans une maison vide, sans femme ni fille, avec pour seul souvenir celui d’avoir fait régner la justice citoyenne sur des dealers et des meurtriers. A fin de Death Wish, Kersey appelle le voleur de bagages pour lui dire une chose précise via un sous-texte symbolique : « Tu es le prochain. » Super chirurgien justicier un jour, super chirurgien justicier toujours.