Découvrez si Le Téléphone de M. Harrigan sur Netflix est basé sur des faits réels !
Le Téléphone de M. Harrigan est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez savoir si le film est inspiré d’une histoire vraie, lisez la suite ! Ignorant les attentes associées aux noms des producteurs Ryan Murphy et Jason Blum, Le Téléphone de M. Harrigan ostensiblement un film d’horreur n’est pas particulièrement effrayant. Pour connaitre l’explication de la fin, c’est ici.
Le Téléphone de M. Harrigan est basé sur une nouvelle de Stephen King, ce qui prouve une fois de plus que Hollywood est prêt à produire à peu près n’importe quoi tant qu’il est convaincu que le matériau est commercialisable. Pour savoir si une suite au film verra le jour, c’est ici.
Ce n’est pas la première fois que Netflix paie pour produire un film basé sur l’œuvre de King, mais si chaque adaptation précédente avait quelque chose à offrir, Le Téléphone de M. Harrigan ne parvient pas à reconnaître l’humour inhérent à l’histoire d’un vieil homme qui entretient une correspondance avec un jeune garçon d’outre-tombe, et commet occasionnellement des meurtres en son nom. Certains éléments du film peuvent vous laisser vous demander si Le Téléphone de M. Harrigan est inspiré d’une histoire vraie, on vous dit tout !
Le Téléphone de M. Harrigan est il inspiré d’une histoire vraie sur Netflix ?
Non, Le Téléphone de M. Harrigan n’est pas basé sur une histoire vraie. Le Téléphone de M. Harrigan est basé sur la nouvelle éponyme de Stephen King, publiée comme l’une des quatre nouvelles du recueil « If It Bleeds ». Le réalisateur John Lee Hancock, qui a également écrit le film, a dû affronter les défis de l’adaptation d’une œuvre littéraire pour concevoir le film. Pour connaitre la signification des SMS, c’est ici.
Pour créer le lien fort et attachant entre Craig et M. Harrigan, Hancock s’est adressé au célèbre écrivain lui-même. Bien que la nouvelle de King et le film de Hancock ne soient pas basés sur une histoire vraie de contact avec la vie après la mort, les racines des deux œuvres sont dans la réalité.
La nouvelle et le film peuvent tous deux être considérés comme des allégories qui explorent la présence inéluctable des téléphones portables ou de la technologie dans la vie des êtres humains. Dans la vie de Craig et Harrigan, le téléphone devient le pont entre deux âmes solitaires qui se comprennent mieux que quiconque puisqu’elles partagent le même chagrin. Lorsque M. Harrigan meurt, Craig s’abstient de se séparer de ce même pont car il ne veut pas être à nouveau seul.
Le point de vue sinistre de King sur ces relations qui existent ou sont régies par la technologie montre également la nécessité de « passer à autre chose » et de « lâcher prise ». Il n’est donc pas surprenant que Hancock ait qualifié le film de « conte de fées édifiant », en référence à l’étendue de l’influence de la technologie sur nos vies.
À la surface de ces couches et interprétations allégoriques, « Mr. Harrigan’s Phone » présente une relation admirable qui dépasse les frontières de l’âge et du statut social. La mort et le deuil, deux facteurs inévitables de la vie, sont également explorés dans le film, notamment à travers le chagrin de Craig et Harrigan face au décès de leurs mères respectives et la consolation que l’un apporte à l’autre pour faire face à la même chose.