Découvrez l’explication de la fin de Un Prince à New York 2 et de ses scènes post-crédits ! Qui est le chanteur ?
Un Prince à New-York 2 est disponible sur Amazon Prime Video ! Si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin, lisez la suite ! Un Prince à New York 2, la suite tant attendue du classique de 1988 d’Eddie Murphy, est arrivée sur Amazon Prime avec une abondance de camées et de rappels dignes d’un roi. En plus de la reprise par Murphy et Arsenio Hall de leurs rôles principaux, respectivement dans le rôle du prince Akeem Joffer et de son ami Semmi. Le film se targue de nombreuses apparitions des acteurs figurant dans l’original, dont James Earl Jones, John Amos, Shari Headley, Vanessa Bell Calloway et Louie Anderson.
Si vous venez de finir Un Prince à New York 2 sur Amazon, ne touchez pas encore à cette télécommande, restez dans les parages pour les scènes post-crédits de Un Prince à New York 2. Tout comme la comédie classique d’Eddie Murphy de 1988 comportait des séquences bonus pour ceux qui ont regardé le générique, Un Prince à New York 2 ne comporte pas une mais deux scènes d’après-crédits. On vous en dit plus !
Explication de la fin de Un Prince à New York 2
Après son arrivée à Zamunda, Lavelle fait de son mieux pour embrasser les coutumes et les traditions du pays de son père. Mais son éducation libérale new-yorkaise est tellement ancrée en lui qu’il trouve ses nouvelles fonctions étouffantes et ridicules. Son oncle, Reem, qui a aidé sa mère Mary à l’élever, arrive à Zamunda et apporte avec lui une certaine compréhension désinvolte qui a cruellement manqué à Lavelle.
Lavelle commence à s’intégrer réellement dans le rôle d’un prince et remplit toutes les conditions pour être l’héritier de son père. Mais en fin de compte, il est l’enfant de son père d’une manière qu’Akeem n’a peut-être pas voulu qu’il soit, du moins au début. Comme son père, Lavelle découvre que la femme choisie pour lui, la fille du général Izzi, n’est définitivement pas faite pour lui et choisit Mirembe à la place.
Ils s’enfuient ensuite en Amérique, où ils essaient de se marier dans l’église ombragée du révérend Brown. Akeem arrive et tente de convaincre son fils de rentrer avec lui avant de se rendre compte que c’est lui-même qui est en faute ici. Le mariage de Lavelle et Mirembe a finalement lieu à Zamunda, en présence des deux côtés de sa famille. A la fin de Un Prince à New York 2, Lavelle n’hérite pas du trône de son père, mais seulement de son esprit romantique, mais cela lui suffit. Quant à Meeka, elle surmonte sa colère et son envie envers Lavelle pour l’aider lors de son procès. Et les deux hommes développent par la suite un véritable lien fraternel.
Lorsque le général Izzi vient chercher le futur marié de sa fille, c’est Meeka qui lui tient tête. Son frère ayant pris la fuite et son père étant parti, la princesse aînée de Zamunda prend les commandes et défait les envahisseurs. À son retour, Akeem choisit correctement Meeka comme successeur, mettant fin à la tradition séculaire en faveur du mérite.
Explication des scènes post-crédits de Un Prince à New York 2 !
La première scène post-crédits de Un Prince à New York 2 après un montage de bêtisier/danse très amusant comprend nul autre qu’un Emmy, un Grammy, un Oscar et l’artiste John Legend, lauréat du Tony. Au début du film, le serviteur de longue date de la famille royale Zamundan nommé Oha reprend la chanson qu’il a chantée dans le premier film, qui dit « Elle est votre future reine, une reine pour toujours », etc.
Mais, comme le révèle la première scène post-crédits ce n’était pas la voix de Paul Bates, mais celle de John Legend. Legend qui s’accompagne au piano dans sa maison chante la chanson avec tout ce qu’il a, et on dirait qu’il s’amuse comme un fou. C’est bien pour lui.
Si vous attendez jusqu’à la fin des crédits et je parle bien de la fin des crédits de Un Prince à New York 2. Vous aurez une scène bonus de 30 secondes où Eddie Murphy est habillé en Saul, le vieux juif chez le coiffeur, et Arsenio Hall, habillé en Baba le sorcier. Saul, avec l’accent yiddish exagéré de Murphy, transmet à Baba les paroles d’une chanson. « Au fond de la jungle, le lion a marché sur les pattes du singe signifié. Le singe lui dit : « Hé, salaud, tu ne vois pas ? Tu te tiens sur mes foutus pieds ! »
Pour les téléspectateurs aux oreilles aiguisées, ils pourraient reconnaître cette chanson comme la version pour les moins de 13 ans d’une chanson chantée par le comédien Rudy Ray Moore intitulée « Signifying Monkey », qui a ensuite été reprise par Murphy lorsqu’il a fait le portrait de Moore dans le récent biopic de Netflix, Dolemite Is My Name. C’est un petit easter eggs amusant pour les fans de Murphy.