Découvrez l’explication de la fin de The Life of Chuck ! Spoilers !
The Life of Chuck est sorti au cinéma ! Si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin de The Life of Chuck, lisez la suite ! The Life of Chuck résume un tout autre niveau de futilité. Au lieu de suivre un personnage central pendant quelques heures (comme dans Night Surf), cette histoire suit plusieurs vies sur plusieurs années.
Suivant d’abord la vie de Marty dans un monde qui commence tout juste à s’éteindre (Internet et les sources d’énergie s’effondrent, l’État de Californie tout entier est perdu dans l’océan Pacifique, et un personnage mystérieux connu sous le nom de « Chuck » envahit lentement tous les espaces humains possibles) et se terminant sur la vie du personnage actuel de Chuck dans un monde qui rappelle celui que nous connaissons aujourd’hui, les sauts dans le temps de l’histoire donnent lieu à des moments de connexion qui se forment instantanément dans l’esprit du lecteur.
L’un de ces liens est le motif de la cicatrice en forme de croissant sur la main de Chuck, qui est expliqué plus en détail vers la fin de l’histoire. Il est finalement révélé par des fils interconnectés que Chuck est en train de mourir d’un cancer après 39 ans de vie (ce qui correspond aux « 39 grandes années » avant la « retraite » du monde de Marty), et que le Marty susmentionné est une manifestation de la conscience intérieure de Chuck en train de s’éteindre. Voici l’explication de la fin de The Life of Chuck !
Explication de la fin de The Life of Chuck !
Alors que l’acte 1 avance généralement dans le temps, la fin de The Life of Chuck marque toujours l’un des premiers moments de la chronologie du film de Stephen King, puisqu’elle se termine avec Chuck, alors qu’il est lycéen. Après avoir été mis en garde contre la coupole de la maison de ses grands-parents, que son grand-père Albie (Mark Hamill) dit remplie de fantômes de choses à venir, il saisit finalement l’occasion d’enquêter sur la pièce après qu’Albie soit mort d’une crise cardiaque. Là, il voit une vision de lui, adulte, dans un lit d’hôpital, en train de mourir lentement.
Cependant, au lieu de désespérer de sa mort à un âge qui lui semble relativement jeune, il apprend une leçon de son grand-père qui l’avertit que l’anticipation effrayante de la mort d’un être cher est la partie la plus difficile de l’expérience. A la fin de The Life of Chuck, il prend la décision d’oublier complètement ce dont il vient d’être témoin et d’embrasser la merveille de la vie, en la laissant s’achever à son heure et en appréciant ce qui se passe entre ce moment et sa mort éventuelle, en particulier les moments où il peut être merveilleux, comme la danse de l’acte 2.
L’une des choses les plus importantes expliquées dans l’acte 1 de La vie de Chuck est l’événement apocalyptique décrit dans l’acte 3. Cette explication est fournie par la philosophie de Mlle Richards (Kate Siegel), l’enseignante de Chuck, qu’elle partage avec lui après le dernier cours avant les vacances d’été. En expliquant ce que Walt Whitman voulait dire lorsqu’il a écrit que « je contiens des multitudes », elle suggère que tout ce qu’une personne voit et imagine construit un univers à l’intérieur de sa propre tête. C’est la destruction de cet univers qui est dépeinte dans l’acte 3.
A la fin de The Life of Chuck, par conséquent, rien de ce qui se passe dans l’acte 3 n’est techniquement « réel », à l’exception de la scène où Chuck reçoit la visite de sa femme (Q’orianka Kilcher) et de son fils (Antonio Raul Corbo) sur son lit de mort. L’univers qui est détruit dans l’histoire est celui qui a été construit dans sa tête au cours de ses 39 ans, qui a été assemblé au coup par coup à partir d’endroits où il s’est réellement rendu (comme la maison de ses grands-parents) et de personnes qu’il a connues ou vues (y compris un professeur de son école primaire et l’avocat du plan de succession de son grand-père), ainsi que d’éléments qui n’ont jamais existé en premier lieu.
